Est-Il ressuscité ?

par Wallace Smith

Contrairement à de nombreuses philosophies et croyances religieuses dans le monde, le christianisme est bien ancré dans la réalité et l’Histoire. Nous proclamons que certains faits de notre foi se sont réellement accomplis dans l’Histoire – ils ont été vus et entendus par des personnes réelles.
Tombeau

Contrairement à de nombreuses philosophies et croyances religieuses dans le monde, le christianisme est bien ancré dans la réalité et l’Histoire. Nous proclamons que certains faits de notre foi se sont réellement accomplis dans l’Histoire – ils ont été vus et entendus par des personnes réelles.

La Bible témoigne d’un événement clé central : Jésus de Nazareth a été ressuscité d’entre les morts trois jours et trois nuits après Sa mort par crucifixion. Malheureusement, certains individus qui se disent « chrétiens » renient la réalité de la résurrection du Christ. Ils la considèrent comme une légende, un mythe ou une métaphore, dans l’espoir de débarrasser leur foi des miracles et des éléments surnaturels, afin de la rendre plus crédible et moins « embarrassante ». Pourtant, la parole de Dieu dit tout le contraire. Si Jésus-Christ n’est pas ressuscité trois jours et trois nuits après Sa mort, notre foi n’a aucun sens.

Le rôle crucial de la résurrection

Voyez la déclaration sans ambiguïté de l’apôtre Paul :

« Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine. Il se trouve même que nous sommes de faux témoins à l’égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu’il a ressuscité Christ, tandis qu’il ne l’aurait pas ressuscité, si les morts ne ressuscitent point. Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n’est pas ressuscité. Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés, et par conséquent aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus. Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes » (1 Corinthiens 15 :14-19).

En effet, le seul signe donné par Jésus pour prouver qu’Il était le Messie, fut qu’Il ressusciterait après avoir passé trois jours et trois nuits dans le tombeau (Matthieu 12 :39-40) !

Si Jésus-Christ n’avait pas été ressuscité et s’Il n’était pas revenu à la vie, alors il n’y aurait pas de pardon possible des péchés, il n’y aurait pas de résurrection future pour les morts et il n’y aurait pas de Royaume de Dieu à venir. Il n’y aurait pas non plus de Fils de Dieu pour vivre Sa vie en nous, pour nous aider à vaincre jour après jour, pour édifier Son caractère en nous et pour nous mener dans une union toujours plus intime avec notre Créateur !

En revanche, s’Il est ressuscité – comme Il l’a dit – cela change tout. Il est le Fils de Dieu. Sa parole est véritable. Son Royaume est proche. Et Il vit dans les chrétiens par Son Esprit, en les transformant tout au long de leur vie pour atteindre le but ultime que Dieu leur a préparé.

Y a-t-il des raisons de croire à une telle affirmation ? Cet homme, Jésus de Nazareth, a-t-Il réellement été ressuscité trois jours entiers après Sa mort ?

Oui, ces raisons existent ! Et oui, Jésus a réellement été ressuscité !

Il est de plus en plus essentiel que nous prouvions personnellement la réalité de nos croyances, car nous vivons dans un monde toujours plus sceptique, qui méprise complètement les faits historiques du christianisme et qui n’hésite pas à nous ridiculiser en affirmant que nous croyons à de vieilles « légendes ». Nous devons savoir et nous devons savoir que nous savons, comme M. Meredith nous le rappelait souvent ! C’est particulièrement vrai au sujet du seul signe donné par Jésus concernant Sa résurrection (Matthieu 12 :38-40), sans lequel notre foi serait vaine.

Prenons le temps d’examiner les preuves de cette affirmation remarquable. Vous devez le prouver vous-même !

Quelques faits à expliquer

Puisque la Bible affirme que la résurrection n’est ni un mythe ni une légende mais une réalité historique, alors les affirmations concernant ce récit peuvent être examinées de la même manière que n’importe quel autre fait historique. Plusieurs éléments doivent être examinés avec impartialité pour faire ressortir les preuves de la résurrection de Jésus-Christ.

Que les gens croient ou non aux affirmations du véritable christianisme, il s’agit de déclarations factuelles au sujet d’événements historiques qui doivent soit être réfutées, soit être acceptées et expliquées. Peuvent-elles être réfutées ? Examinons les preuves pour les deux faits suivants.

Fait : Le tombeau fut retrouvé vide

Le fait que Jésus ait vécu, qu’Il ait exercé un ministère dans la Judée du premier siècle et qu’Il fût crucifié sont des réalités historiques incontestables. Il existe un engouement à nier l’existence de Jésus parmi ceux qui cherchent désespérément à éliminer toute trace de christianisme dans le monde, mais les érudits – même laïques – acceptent ces faits. Des historiens du premier siècle comme Flavius Josèphe, Tacite, Lucius, Pline l’Ancien et Celse rapportent ces faits dans leurs ouvrages. Même les miracles de Jésus ont été rapportés par certains écrivains laïques de l’Antiquité, bien qu’ils furent souvent rejetés comme de la supercherie ou de la « sorcellerie » par les détracteurs juifs à l’époque de Jésus (Matthieu 12 :24). Prétendre que le Christ n’a pas existé relève du négationnisme, au même titre que ceux qui nient la réalité de la Shoah.

La vie, la crucifixion et la mort de Jésus de Nazareth font partie des faits les mieux attestés de l’histoire antique. De même que la découverte de Son tombeau vide !

Selon la Bible, cette découverte a d’abord été faite par des femmes, disciples de Jésus, puis confirmée par d’autres comme Pierre et Jean. Si vous avez prouvé la véracité de la Bible du premier au dernier mot, vous n’aurez aucune difficulté à accepter ce récit dans son intégralité. Mais comment prouver cela à des gens qui ne sont pas familiers avec la Bible ? Une personne laïque, non-chrétienne, peut-elle croire que Son tombeau fut retrouvé vide ? Cette affirmation biblique peut-elle être confirmée ?

Oui, c’est possible !

De nombreux témoignages historiques, bibliques et séculiers, authentifient le récit du tombeau vide. Examinons-les.

Par exemple, la Bible déclare dans les quatre récits historiques du ministère de Jésus que les premières personnes à trouver le tombeau vide étaient des femmes (Matthieu 28 :1-8 ; Marc 16 :1-8 ; Luc 24 :1-3 ; Jean 20 :1-2). Pourquoi cela est-il important ? Parce que les femmes n’étaient pas considérées comme des témoins crédibles dans la Judée du premier siècle.

Les historiens sont sensibles à ce détail quand ils évaluent le « principe de l’embarras » dans leur recherche d’authentification historique : si un groupe invente une histoire à son avantage, il évitera généralement les éléments embarrassants ou nuisibles à sa cause. Dans le cas du tombeau vide, compte tenu des us et coutumes du premier siècle qui vit naître le christianisme, l’attribution de la découverte du sépulcre vide – le fondement même du message des apôtres (Actes 2 :32 ; 10 :39-41 ; 17 :31) – à des femmes aurait été plutôt embarrassant. Pourtant, le Nouveau Testament est parfaitement clair à ce sujet.

Si les premiers chrétiens avaient « inventé » la résurrection de Jésus et la découverte du tombeau vide pour soutenir leur religion, ils n’auraient pas choisi des femmes comme premiers témoins. Cet événement passe donc le test d’authenticité du « principe de l’embarras » de l’historien.

Voyons aussi les preuves que nous pouvons tirer des premières attaques contre le christianisme. Si le sépulcre de Jésus n’avait pas été retrouvé vide, les ennemis de la jeune Église en pleine croissance se seraient empressés de montrer le corps ! Lorsque les apôtres affirmèrent que Jésus était ressuscité des morts, les dirigeants juifs n’auraient eu qu’à désigner le tombeau pour étouffer ce mouvement gênant, en montrant que le corps de Jésus y était toujours et que celui-ci était bien mort ! Or, aucun document historique n’atteste une telle intervention des Juifs ou d’une autre autorité. Au contraire ! L’Histoire rapporte que les ennemis de l’Église s’évertuèrent à expliquer pourquoi le tombeau était vide. Encore une fois, même les ennemis des apôtres reconnurent que le tombeau était vide et qu’il n’y avait plus de dépouille !

Les Évangiles en témoignent aussi. Matthieu 28 rapporte que les dirigeants juifs soudoyèrent les gardes chargés de surveiller le tombeau de Jésus et leur ordonnèrent : « Dites : Ses disciples sont venus de nuit le dérober, pendant que nous dormions » (verset 13). Matthieu conclut en expliquant que « ce bruit s’est répandu parmi les Juifs, jusqu’à ce jour » (verset 15). La Bible nous donne la preuve que les Juifs, ennemis de l’Église primitive, ne contestèrent pas la réalité du sépulcre vide – ils essayèrent plutôt d’expliquer pourquoi il était vide.

Même la plupart des érudits sceptiques admettent que les preuves sont solides concernant la réalité du tombeau retrouvé vide. Jésus est mort, Il a été enseveli, mais trois jours et trois nuits plus tard Son tombeau était vide.

Fait : Plusieurs disciples ont affirmé L’avoir revu vivant

Certaines sources historiques laïques, comme les écrits de Josèphe, rapportent que les disciples de Jésus L’ont revu vivant après Sa mort par crucifixion.

Du côté des preuves bibliques – même en considérant ce livre uniquement comme une source historique (bien que nous sachions qu’il s’agisse de la parole inspirée et infaillible de Dieu !) – le récit est le même : il ne fait aucun doute que plusieurs disciples du Christ L’ont vu vivant après Sa mort et qu’ils ont parlé avec Lui. Prenons un seul exemple, dans 1 Corinthiens 15.

La première épître de Paul aux Corinthiens peut être utilisée avec fermeté face à des gens sceptiques, car son « authenticité » est largement admise, y compris par des érudits opposés au christianisme. Dans l’Église de Dieu, nous savons que Paul a écrit les lettres qui lui sont attribuées dans le Nouveau Testament, mais de nombreux historiens se lancent dans des débats et des discussions sans fin à ce sujet. Cependant, lorsqu’il s’agit de la première épître aux Corinthiens, il y a un large consensus – même chez les plus sceptiques – non seulement sur le fait qu’elle ait été écrite par l’apôtre Paul, mais aussi qu’elle fut rédigée environ 20 ans après la mort de Jésus-Christ. Même d’un point de vue académique et séculier, la première épître aux Corinthiens représente une source primordiale et solide des croyances de l’Église du premier siècle.

Pour cette raison, 1 Corinthiens 15 :3-8 est une preuve solide que de nombreux chrétiens du premier siècle ont vu de leurs propres yeux Jésus-Christ qui était ressuscité des morts !

« Je vous ai enseigné avant tout, comme je l’avais aussi reçu, que Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures ; il a été enseveli, et il est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures ; et il est apparu à Céphas, puis aux douze. Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois, dont la plupart sont encore vivants, et dont quelques-uns sont morts. Ensuite, il est apparu à Jacques, puis à tous les apôtres. Après eux tous, il m’est aussi apparu à moi, comme à l’avorton. »

Il y a beaucoup de choses à souligner ici !

Il ne s’agit pas d’une sorte de « vision » fantomatique. Paul affirma que de nombreuses personnes avaient vu Jésus de Nazareth vivant, après Sa mort, comme Il l’avait prédit (Jean 2 :19 ; Marc 8 :31).

Mais Paul donna aussi les moyens à ses lecteurs de l’époque de vérifier ses dires. Il nomma des individus qui pouvaient témoigner, Pierre (désigné ici par son nom araméen “Céphas”) et Jacques, le frère de Jésus. La mention de Jacques est importante, car l’Évangile selon Jean rapporte qu’initialement Jacques ne croyait pas que son frère était le Messie (Jean 7 :3-5).

Encore plus remarquable, Paul affirma que Jésus-Christ avait été vu après Sa résurrection par « plus de cinq cents frères à la fois » ! Et si certains étaient morts au cours des 20 années qui s’étaient écoulées, la plupart d’entre eux étaient toujours en vie. C’est une précision importante ! Car tous ces gens pouvaient encore témoigner. Si Paul avait inventé son récit – en se basant sur de fausses affirmations – son témoignage aurait facilement été démenti. Seul un insensé aurait été capable de mentir en prenant à témoin plusieurs centaines de personnes encore vivantes qui n’auraient pas manqué de le contredire !

Au lieu de discréditer Paul, ces faits renforcèrent et authentifièrent son message, en lui permettant de proclamer devant des rois, comme Agrippa, que ces choses étaient véridiques et vérifiables par tous, « puisque ce n’est pas en cachette qu’elles se sont passées » (Actes 26 :26).

Là encore l’Histoire confirme les propos de Paul. Même les sceptiques qui ne croient pas à la résurrection, admettent que la première génération de disciples a vu Jésus ressuscité et avait parlé avec Lui. L’érudit sceptique Gerd Lüdemann a reconnu qu’il « peut être considéré comme historiquement certain que Pierre et les disciples ont eu, après la mort de Jésus, des expériences pendant lesquelles Jésus leur est apparu comme le Christ ressuscité » (What Really Happened to Jesus – c’est nous qui accentuons). Il s’agit bien d’un fait historique.

La question cruciale : comment expliquer ces faits ?

Si ces deux points – le tombeau vide et l’apparition de Jésus à Ses disciples après Sa mort – sont une réalité historique, ils sont donc indéniables et ils méritent une explication. Comment les expliquer ?

Des érudits incrédules avancent diverses explications en rejetant l’idée d’un « miracle » pour expliquer ces faits.

La théorie de « l’évanouissement » prétend que Jésus ne serait pas réellement mort lors de Sa crucifixion, mais qu’Il aurait simulé son trépas. Ou bien qu’Il aurait simplement été laissé pour mort, mais qu’Il aurait repris connaissance une fois dans le sépulcre. Selon cette théorie, Lui seul aurait déclaré être ressuscité un peu plus tard.

C’est ridicule. Les Romains savaient exécuter avec cruauté, ils en avaient fait leur spécialité. Il est invraisemblable que Jésus ait pu « faire le mort », d’une manière ou d’une autre, et que les centurions, dont la vie dépendait de leur capacité à s’assurer que les condamnés étaient bien morts, auraient été assez stupides de Le croire mort. Plus absurde encore, en admettant qu’Il ait survécu à la flagellation puis à la crucifixion en tombant dans une sorte de « coma », comment aurait-Il pu « se sentir mieux » une fois dans le sépulcre et rouler l’énorme pierre qui bloquait l’entrée, malgré Son état meurtri et affaibli, pour se présenter ensuite à Ses disciples afin qu’ils croient que Dieu L’avait miraculeusement ressuscité dans la puissance et la gloire ? Même pour le moins croyant des non-croyants, il est impossible de croire à cette théorie.

La théorie de l’hallucination est tout aussi improbable. Elle suggère que les apparitions du Christ ressuscité auprès de Ses disciples n’auraient été que de simples hallucinations. Est-ce bien rationnel ? Absolument pas. Non seulement elle ne résiste pas au bon sens et à la réalité – compte tenu du nombre de témoins, de la nature individuelle de chacun d’entre eux, de la cohérence de la croyance, de la nature des rencontres, etc. – mais elle ne résiste pas non plus aux preuves historiques. Si la résurrection était le fruit d’une hallucination, le tombeau n’aurait pas été trouvé vide et les ennemis de l’Église n’auraient eu aucune peine à le prouver.

Quant à la théorie du grand mensonge, est-il possible que les apôtres et les autres disciples aient simplement menti ? Est-il possible que les accusations du premier siècle soient vraies, à savoir que les disciples soient venus la nuit, sans être vus de personne (malgré la présence des gardes autour du tombeau), voler le corps de Jésus pour Le cacher, avant de prétendre qu’ils L’avaient vu vivant et ressuscité ? Aucune chance.

L’Histoire est claire : les apôtres et les premiers disciples ne se sont pas contentés de proclamer leur foi dans la résurrection du Christ avec leur vie, mais ils ont prouvé qu’ils y croyaient au travers de leur mort. L’Histoire leur rend témoignage et rapporte que plusieurs d’entre eux furent torturés et exécutés parce qu’ils refusèrent de cesser de prêcher qu’ils avaient revu Jésus-Christ vivant, ressuscité d’entre les morts. Ils ont rapporté qu’Il leur avait parlé. Ils ont mangé avec Lui. Ils L’ont touché. Ce n’était ni un « fantôme » ni une « apparition », mais Il était réellement ressuscité. Pour L’avoir vu de leurs propres yeux, ils étaient absolument convaincus qu’Il reviendrait établir Son Royaume et que le message qu’ils proclamaient était véridique.

Ils étaient prêts à mourir sous la torture pour défendre cette déclaration. Il n’y a aucune trace dans l’Histoire affirmant que l’un des apôtres se soit rétracté ou ait renié cette vérité. Pas un seul.

Auraient-ils accepté d’être torturés à mort pour quelque chose qu’ils savaient être un mensonge ? Auriez-vous accepté cela ?

Il n’y a qu’une seule explication qui tienne la route : Jésus-Christ a été ressuscité par Dieu, trois jours et trois nuits après Sa crucifixion et Sa mise au tombeau. Il a été ressuscité. Et Ses premiers disciples ont volontairement sacrifié leur vie pour nous transmettre cette vérité, afin que nous croyions en Lui par leur parole (Jean 17 :20).

La puissance et l’espérance en la résurrection de Jésus-Christ

La réalité de la résurrection de Jésus d’entre les morts change tout. Cela signifie que Son témoignage était vrai. Le seul signe qu’Il donna pour authentifier Son message a été accompli.

Cela signifie qu’Il est bien le Fils de Dieu. Cela signifie qu’il existe un pardon des péchés pour ceux qui se repentent et qui se tournent, en Son nom, vers Dieu pour Lui obéir. Cela signifie que Jésus reviendra réellement et qu’Il apportera un monde nouveau pour remplacer l’actuel. Cela signifie que la mort a été vaincue et que tous les morts ressusciteront un jour : « Mais maintenant, Christ est ressuscité des morts, il est les prémices de ceux qui sont morts. Car, puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ » (1 Corinthiens 15 :20-22).

Si la résurrection de Jésus était un mythe, l’Évangile du Royaume de Dieu ne serait que pure imagination. Mais si elle a bien eu lieu, alors la prédication du retour du Christ vivant et de la venue du Royaume de Dieu est le message le plus important que le monde puisse entendre.

Alors que nous méditons sur les leçons des Jours des Pains sans Levain – en nous efforçant d’ôter le péché de notre vie, de revêtir la justice et de progresser dans la voie divine – nous pouvons nous réjouir que Galates 2 :20 soit véridique. Nous pouvons croire sans hésitation que Jésus-Christ vit en chacun d’entre nous – parmi ceux qui ont été pardonnés et qui ont reçu le Saint-Esprit de Dieu. Nous avons l’assurance que nous ne sommes jamais seuls et que Ses promesses sont certaines. Nous pouvons avoir la certitude qu’Il reviendra bientôt, car Il est ressuscité !