Lettre aux abonnés, 3 novembre 2025
Chers abonnés à la revue du Monde de Demain,
Bonjour de Charlotte, en Caroline du Nord ! Au premier siècle de notre ère, le complexe du temple de Jérusalem devait être un spectacle magnifique et une source de fierté pour le peuple juif. Jésus se trouvait dans la cité vers la fin de Son ministère lorsqu’Il révéla à Ses disciples que le jour viendrait où le temple serait détruit. Il leur dit : « il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée ». Tandis qu’ils marchaient depuis le temple vers le mont des Oliviers, de l’autre côté de la vallée étroite du Cédron, Ses disciples voulurent savoir quand cela se produirait, ainsi que le signe de Son retour et de la fin des temps.
Jésus décrivit alors les conditions qui mèneraient à la destruction du temple, qui eut lieu en 70 apr. J.-C. comme annoncé. Ces mêmes conditions précéderaient également Son retour sur Terre à la fin des temps. Il mit d’abord en garde contre le faux christianisme : « Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens » (Matthieu 24 :4-5). Ensuite suivraient des guerres, des famines et des pestes (ou des épidémies). Le récit parallèle de Luc mentionne qu’il y aura « de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines ; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel » (Luc 21 :11).
L’Histoire révèle qu’il y a toujours eu des guerres, des famines, des épidémies et des séismes. De plus, le faux christianisme n’est pas un phénomène récent, alors que voulait dire Jésus ? Devons-nous supposer que chaque fois qu’il y a une guerre importante, une catastrophe naturelle ou une épidémie, il s’agit d’un signe annonçant la fin des temps ? Le tsunami de 2004 dans l’océan Indien fit entre 200 000 et 300 000 victimes. L’éruption volcanique du Krakatoa, le 27 août 1883, fut entendue à près de 4800 km de distance, propulsant des cendres à 80 km au-dessus de la surface terrestre tout en modifiant le climat mondial au cours de l’année suivante.
La peste noire, principalement sous forme bubonique, dévasta l’Europe et l’Asie au milieu du 14e siècle, avec des épidémies récurrentes au cours du siècle suivant. L’Encyclopédie Britannica en ligne indique que « l’étude des archives contemporaines suggère une mortalité variant selon les régions entre un huitième et deux tiers de la population, et l’affirmation du chroniqueur français Jean Froissart de la mort d’environ un tiers de la population européenne due à la pandémie pourrait être assez précise » (“Black Death”, Britannica.com). Des recherches récentes sur la pandémie de grippe espagnole de 1918 estiment que 50 à 100 millions de personnes moururent dans le monde. Si l’on tient compte de la population beaucoup moins importante à cette époque, la pandémie de Covid était relativement faible en comparaison. Elle n’en fut pas moins tragique pour les nombreuses personnes qui y succombèrent ou qui subissent encore aujourd’hui les graves séquelles à long terme.
Les guerres, les famines, les maladies, les séismes et autres catastrophes naturelles ont fait des ravages terribles au cours des deux derniers millénaires. Pourtant, le fait que Jésus les ait énumérés comme des signes de la fin des temps n’est pas sans importance. Que devons-nous en penser ? Luc donna ce conseil rassurant : « Quand vous entendrez parler de guerres et de soulèvements, ne soyez pas effrayés, car il faut que ces choses arrivent premièrement. Mais ce ne sera pas encore la fin » (Luc 21 :9). Matthieu précisa que « tout cela ne sera que le commencement des douleurs » (Matthieu 24 :8). Pourquoi ces signes ont-ils été donnés ?
Le livre de l’Apocalypse expose, selon un ordre chronologique, les événements de la fin des temps qui bouleverseront littéralement ce monde. Beaucoup tentent d’interpréter ses symboles étranges, mais ne parviennent pas à saisir les trois clés essentielles permettant de comprendre ce livre mystérieux.
Deux d’entre elles se trouvent dans le livre de Daniel qui se réfère également à la fin des temps. Premièrement, ce prophète fut informé que le moment n’était pas venu de comprendre ces prophéties, bien qu’il dût les consigner. « Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu’au temps de la fin […] Et il dit : Va, Daniel, car ces paroles seront tenues secrètes et scellées jusqu’au temps de la fin » (Daniel 12 :4, 9).
La deuxième clé est que les prophéties bibliques ne s’adressent pas aux intellectuels, mais aux justes. « Plusieurs seront purifiés et blanchis et affinés ; et les méchants agiront méchamment, et aucun des méchants ne comprendra ; mais les sages comprendront » (Daniel 12 :10, Darby). Notez le contraste entre les méchants et les sages. Seuls les justes, les sages, qui obéissent aux commandements divins comprendront.
La troisième clé se trouve dans le livre de l’Apocalypse. Bien qu’elle doive être évidente pour tous, force est de constater que peu de gens la comprennent. Pour faire simple, Jésus-Christ est Celui qui révèle le message de l’Apocalypse concernant les événements de la fin des temps. Les premiers mots du livre nous disent qu’il s’agit de la « révélation de Jésus-Christ » et non, comme certains le suggèrent, d’une révélation au sujet de la personne du Christ. C’est Lui qui révèle le message communiqué par Dieu. Cela devient clair dans le cinquième chapitre qui met en scène un rouleau scellé de sept sceaux. En dehors de l’Agneau de Dieu, personne ne sera trouvé digne d’ouvrir les sceaux (Apocalypse 5 :4-9).
L’ouverture des sceaux commence avec les célèbres cavaliers de l’Apocalypse. La signification des deuxième, troisième et quatrième cavaliers semble évidente : ils représentent la guerre, la famine et les pestes. Ce n’est pas aussi clair pour le premier cavalier : « Je regardai, quand l’Agneau ouvrit un des sept sceaux, et j’entendis l’un des quatre êtres vivants qui disait comme d’une voix de tonnerre : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre » (Apocalypse 6 :1-2). De nombreux érudits tirent la conclusion erronée que ce cavalier est le même que Celui chevauchant un cheval blanc au chapitre 19 – ce dernier représente clairement le Fils de Dieu conquérant. Non seulement ils ne voient pas les différences significatives entre ces deux cavaliers, mais ils ne se tournent pas vers l’Agneau de Dieu pour ouvrir les sceaux afin que nous comprenions. Ceux qui concluent que le premier sceau représente le Christ, ou ceux qui font la guerre en Son nom, commettent une grave erreur !
Non seulement Jésus-Christ ouvre physiquement les sceaux, mais Il est aussi le Seul à nous permettre de les comprendre. Cela nous amène à Ses paroles dans la prophétie du mont des Oliviers. Matthieu, Marc et Luc rapportent que l’avertissement de Jésus concernant le christianisme de contrefaçon sera le premier signe de la fin des temps. Ainsi, le premier sceau, le cavalier montant un cheval blanc, marque le début d’une série de catastrophes intenses. Une grande partie du monde verra ce faux Christ comme un sauveur, mais il contribuera à déclencher la guerre, avec ce qui en découle souvent : la famine et la peste.
Vous pouvez en apprendre davantage à ce sujet dans notre tout nouveau DVD que je vous propose aujourd’hui : Les quatre cavaliers de l’Apocalypse. Ce DVD contient trois émissions télévisées percutantes du Monde de Demain. M. Wallace Smith révèle en détail la signification du cavalier montant le cheval blanc ; M. Rod McNair explique celle du cavalier montant le cheval roux ; enfin, j’aborde ce qui se rapporte au cheval noir et au cheval pâle. Ces cavaliers pourraient très bien débuter leur chevauchée au cours de votre existence. Lorsque le premier cavalier apparaîtra sur la scène mondiale, vous saurez que des catastrophes lui succéderont. Plus important encore, vous aurez été avertis de ne pas le suivre !
C’est pourquoi vous avez besoin de cette ressource gratuite. Je vous encourage à nous retourner le coupon-réponse pour recevoir un exemplaire du DVD intitulé Les quatre cavaliers de l’Apocalypse. Non seulement vous en avez besoin, mais vous voudrez peut-être le partager avec un membre de votre famille ou un ami, alors ne tardez pas. Retournez-nous dès à présent le coupon-réponse sans omettre d’affranchir votre enveloppe au tarif en vigueur.
Au service du Christ,
Gerald Weston
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