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Nouvelles du siège central

Publié le 17 janvier 2020
par Gerald Weston 

Si Dieu le veut, Carol et moi, M. & Mme Cristian Orrego et M. Hernandez, nous serons à Mexico pour l’assemblée du sabbat et une courte conférence ce week-end pour nos dirigeants. Carol et moi sommes impatients de rencontrer nos frères et sœurs dans l’une de nos congrégations qui connaît une croissance exponentielle. De plus, le directeur régional Rob Tyler et M. Brian McKenzie rendront visite aux membres au Sri Lanka en cette fin de semaine, et M. Moses les rejoindra. Le 1er janvier marque une nouvelle année selon la façon de compter le temps de notre monde moderne. Il est pratiquement impossible de fonctionner dans celui-ci sans reconnaître cette réalité. Cependant, nous ne devrions pas nous laisser prendre par les célébrations mondaines du « Nouvel An ». Certains nouveaux et jeunes membres ne le comprennent pas. Il est important de rappeler à tout le monde l’origine de notre calendrier moderne. Comme vous pouvez le lire dans History.com au sujet du Nouvel An : « [Jules] César a institué le 1er janvier comme premier jour de l’année, en partie pour honorer l’homonyme du mois : Janus, le dieu romain des commencements, dont les deux visages lui permettaient de regarder le passé et l’avenir. Les Romains célébraient en offrant des sacrifices à Janus, en échangeant des cadeaux entre eux, en décorant leurs maisons avec des branches de sapin et en assistant à des fêtes bruyantes ». La décoration des habitations avec des branches de sapin, l’échange de cadeaux et les fêtes bruyantes du 25 décembre ont été empruntés aux célébrations des calendes (Nouvel An). Bien que le calendrier commun soit une réalité que nous devons reconnaître, nous devrions éviter les célébrations et les expressions telles que « Joyeux Noël et/ou Bonne Année ».